Je ne poste plus beaucoup. Oui je sais. Fouettez moi, engueulez moi, faites moi subir des sévices corporels bien crades. J’adore ça.

Non, sans déconner. No kidding, pas d’enfants.

J’ai une vie sociale un peu trop remplie. Ce week end y’avait l’intégrale de l’arme fatale (Vous saviez vous qu’il y avait eu l’Arme Fatale 4? Non sérieux? On me cache trop de trucs à moi). Et puis ce soir j’ai un apéro Dukan. A ne pas confondre avec Duncan Mc Leod. Le premier est un médecin tortionnaire, le second un guerrier immortel.Et puis jeudi soir j’ai une soirée de prestige dans un établissement parisien renommé.

Oui, bon je mens. Parce que mon client m’a demandé de venir un jeudi soir à 23h30 sur les Champs pour une soirée de merde qui pue la défaite. J’essaie de me vendre moi même du rêve sans trop y parvenir.

J’ai de plus en plus de mal à écrire. Parce que je sais qu’un peu trop de gens de la vie in real life me lisent. Une fois j’ai même été accueillie chez quelqu’un par un un “Oh Where is Brian !” J’en demande pas tant. Un petit tapis rouge sobre parsemé de pétales de roses aurait fait l’affaire.

En ce moment tout ce que je commence est voué à l’échec. Le régime Dukan, celui qui te dégoute de la nourriture, qui te donne envie de te transpercer le coeur avec un économe et de t’éplucher les artères à vif. Ouais celui là. Bah non ça n’a rien donné. Ma balance qui indiquait 1 kilo en moins en avait pris 1 ce matin remettant ainsi à zéro la somme de mes efforts et de mes sacrifices.

Et puis j’ai postulé dans à peu près toutes les boites du monde de la terre sans succès. J’ai refait mon CV et renvoyé des candidatures à toutes ces boites. Mais non. Toujours pas. Je suis condamnée à être un gagne petit. Ou une très grosse michto.
Ou une braqueuse de banques. Je me tâte encore.